Le fonctionnaire délégué de la cité frontalière de Kasindi-Lubiriha annonce pour bientôt la traque sans relâche de toutes les maisons de tolérance (QG)
A l’en croire, loin de l’immoralité, l’exploitation sexuelle et économique des mineurs y observer, ces maisons contribuent également à l’insécurité dans la région.
Kambale Sivavughirwa Barthélémy qui dit être en attente de l’autorisation officielle de l’administrateur militaire du territoire de Beni, s’adresse aux responsables des QG à Kasindi avant le lancement de cette opération.
« Dans l’entre-temps les responsables de ces QG doivent prendre leurs dispositions utiles, elles doivent chercher à faire évacuer les enfants mineurs dans leurs familles respectives » a-t-il dit devant la presse locale.
Selon le rapport de monitoring de l’association féminine Femme Solution, plus de 490 maisons de tolérance fonctionnant à Kasindi ont été identifiées au mois de février dernier.