Les services de sécurités ont été déployés dès les premières heures de ce lundi 13 septembre 2021, dans plusieurs coins chauds de la ville de Beni, au Nord-Kivu.
Ce déploiement pas régulier est fait dans l’objectif d’imposer l’ordre public soit parrer à tout éventualité en cas d’une nouvelle manifestation pouvant occasionné le trouble à l’ordre public dans la ville. Ceci, après un appel de la société civile décrétant deux journées sans activités pour décrier l’insécurité dans la ville depuis plusieurs mois maintenant.

Selon la société civils ces deux journées dont lundi et mardi seront une occasion pour la population de prier pour les autorités mises en place dans le cadre de l’État de siège afin qu’elles arrivent à mettre fin à la recrudescence des Attaques des hommes armés contre des civils dans la ville.

Narcisse kashale Muteba, maire de la ville, qui s’est lui même rendu le matin sur terrain, au centre-ville, pour rassurer les commerçants sur leur sécurité indique que ces deux jours sans activité n’ont pas leur raison d’être surtout dans cette période spéciale de l’État de siège.
Il précise que cette méthode archaïque des journées sans activité utilisée pendant des année n’a rien apporté comme solution.
«C’est aberrant de décrété deux jours de ville morte sans activités. Cela ne va pas apporté une solution. Nous sommes plutôt entrain d’enfoncer la population dans l’insécurité, on croient que la société civile travail à l’intérêt de la population mais on comprend qu’elle est là pour la détruire, pendant que nous nous somme la pour ramener la paix.Je suis désolé. Je crois que la société civile est vite allée en besogne, elle pouvait venir me voir à mon bureau qui est toujours ouvert. Je suis dans la loi et tous dégât matériel que humains qui peuvent s’enregistrer sont en charge de la société civile»a déclaré Narcisse Muteba Kashale.
Il faut dire que les activités restent en dépit de cette communication du maire suspendues. Seule la circulation est restée normale.